Catalogue Arts, Cinéma et Spectacles : Arts

À l’aube de la seconde Guerre Mondiale un groupe de résistants et de passionnés d’art organise l’exfiltration rocambolesque des chefs-d’oeuvre du Musée du Louvre afin de les soustraire aux Nazis. Celui qui dirige l’opération est Jacques Jaujard, le directeur du Louvre.

Dans cette œuvre de pure poésie, nous redécouvrons l’art exquis de cet orfèvre du mouvement qui fait écho à la commedia dell’arte et invente le moonwalk repris par Michael Jackson...

Nous connaissons tous « Syracuse », cette chanson qui a fait le tour du monde ! Son auteur, Bernard Dimey a séduit les plus grands noms de la chanson française. Qui se cachait derrière cet immense poète, et que reste-t-il de son œuvre aujourd’hui ?

Un film sur les poètes ? Et vivants encore ? C’est le pari du réalisateur Xavier Gayan qui a mené pendant plusieurs mois une série d’entretiens avec des poètes contemporains pour comprendre ce qui incite à faire de la poésie dans un monde où cette pratique paraît plus incongrue que jamais.

Herman Daled est un collectionneur à part. Sa collection acquise en 2011 par le MoMA de New York comprend des pièces maîtresses du mouvement conceptuel qui émerge dans les années 60.
Dans un voyage de Bruxelles à New York, le collectionneur belge se retourne sur son passé.

Naoshima est une petite île japonaise de la mer intérieure de Seto qui abrite depuis les années 1990 un fascinant projet de mécénat d’art contemporain. 

Après 8 années de bataille, un collectif hétéroclite de 1700 personnes rassemblées au sein d’une coopérative culturelle devient propriétaire de la mythique salle de spectacle le Bateau Ivre, à Tours, pour lui rendre ses vibrations.

Ce film relate la genèse de l’exposition Jardin -Théâtre Bestiarium et son évolution. L’historien de l’art Guy Tortosa nous raconte cette aventure singulière initiée par le galeriste et auteur Rüdiger Schöttle et portée par le commissaire d’exposition Chris Dercon, qui nous dévoilent comment est né un tel projet.

Dans ces entretiens enregistrés dans le Salon bleu des Vilmorin en 1975 et 1976, André Malraux évoque ses voyages, ses découvertes, ses artistes préférés, bref tout ce qui a marqué sa pensée esthétique. Ce « journal de voyage » est une sorte de testament philosophique, mais aussi une initiation aux arts du monde entier.

Au début des années 60, le producteur Pierre Braunberger découvre les photos de Lucien Clergue et lui propose de réaliser un film. C’est le début d’une longue collaboration, nourrie d’une passion commune pour la tauromachie, qui ne s’arrêtera qu’à la mort du producteur (1991).