Virginia Hall est une des héroïnes injustement oubliées de la Seconde Guerre mondiale. Casse-cou, polyglotte et dangereusement intelligente, cette espionne d’élite fut missionnée par les services secrets britanniques et américains en France. À la fois chef de commando, agent de liaison, opératrice radio, convoyeuse de fonds secrets, elle échappe par miracle à la Gestapo en traversant à pied les Pyrénées... Klaus Barbie aurait donné n’importe quoi pour mettre la main sur cette "garce". Détail surprenant, la belle de Baltimore, amputée à la suite d’un accident, marchait avec une jambe de bois.
Dans une maïeutique captivante d’archives filmiques et d’une reconstitution des grands faits d’armes de Virginia Hall, L’Espionne qui boîte relate l’épopée d’une Américaine dans le maquis de l’armée des ombres.
« Robert Kéchichian sort de l’anonymat l’intrépide unijambiste qui dirigea un réseau de résistance à Lyon. »
- Télérama
« Un récit à la première personne palpitant qui livre émotions, incertitudes et souffrances »
- Bernadette Mauzé - Le Monde