Catalogue Voyages : Afrique

Gratte-ciel et cases de torchis, déserts et forêts tropicales, traditions et technologies de pointe, tous les éléments ici s’additionnent pour recréer un continent en un seul pays. Hommes, faune, flore et paysages, comme les couleurs qui souvent tracent un sillon courbe dans le ciel du Cap, sont ici d’une diversité inouïe.

«  En 1978, je faisais mon premier voyage en Afrique de l'Ouest. Plus d'un quart de siècle plus tard, je suis retourné sur mes pas à la recherche de ceux qui ont marqué la mémoire du jeune homme que j'étais.
 » 

Sur la boucle du Niger au Mali, une chasse à l’hippopotame tra­di­tion­nelle s’improvise. Tout le monde con­naît la sit­u­a­tion du Sahel : il n’y a pas de pluie, et les gre­niers sont vides. L’hippopotame pèse 3 ou 4 tonnes, il peut fournir de la viande à un vil­lage pen­dant près d’un an…

En Lorraine, j'ai rencontré l'association Novisi, qui aide le village de Kpété-Maflo au Togo. Un jour j'ai eu envie d'aller regarder l'autre bout de la chaîne et de connaître ceux dont on me parlait ici.

Depuis toujours livrés aux aléas climatiques, aux proies d’instabilités géopolitiques, aux maladies ou à de longues périodes de disettes, les Cognagui ont toujours cherché à s’adapter dans une région impitoyable, ou échec signifie mort.

Farafin ko du dioula farafin = peau noire (africain), ko = les choses, les manières de faire. Un an à regarder et à écouter une cour familiale au Burkina-Faso c'est scruter la société Africaine à la loupe. 

Passeurs d’histoires, les anciens manient l’art de conter et de raconter. Curieux de l’univers environnant, les vieux amis portent un regard sur le monde en nous livrant sur Saint-Louis, une histoire, d’hier et demain. Leurs causeries, teintées d’humour, nous offrent une terre, une mémoire, un métissage.

Alors que depuis la nuit des temps les hommes cherchent les moyens de vivre en har­monie, la tribu des Pagouda dans le nord du Togo a trouvé une règle d’or qui lui assure la paix…

Filmant au Botswana et en Namibie, Pierre Mann s’inscrit dans la tradition du documentaire ethnographique de Jean Rouch. Il décrit un peuple qui incarne l’humanité de nos origines, des hommes qui continuent à chasser avec des arcs.

Luc Abaki Kouméa­balo est un homme de médias togo­lais. Entre ses études et sa vie pro­fes­sion­nelle effrénée, il n’a jamais pris le temps de se soumet­tre à l’initiation, un fac­teur pour­tant déter­mi­nant dans sa région natale du nord du Togo.